mardi 30 avril 2013

 
La zone coloniale de santo-domingo
 
 


Capitale de la République Dominicaine, la ville de Saint-Domingue possède une zone coloniale déclarée Patrimoine Universel par l’Unesco. Cette zone conserve en effet, les vestiges de constructions espagnoles les plus anciennes au monde. Familièrement appelé « zona colonial », il s’agit d’un site touristique très apprécié, alors ne manquez surtout pas de la visiter pendant vos vacances à Saint Domingue !

La zone coloniale, croisement du passé et du présent

 

Comme une véritable ville nichée dans la capitale, la zone coloniale peut être considérée comme une ville à elle seule, malgré sa faible superficie. La « zona colonial » conserve des stigmates de la période coloniale. En effet, ce site recèle de magnifiques édifices architecturaux, des églises, des palais et plusieurs jolis sites historiques répartis sur une surface de moins de 5 km². Vous vous étonnerez aussi lorsque vous découvrirez les rues calmes, anciennes et étroites qui semblent se perdre dans l’oubli. L’architecture des maisons et des bâtiments rappelle bien entendu la période coloniale.
Vous pourrez retrouver dans ce site historique, deux importantes zones commerciales disposant de magasins et de cafés. En terrasse ou à l’intérieur, différents types de restaurants aux spécialités culinaires diverses sauront sûrement satisfaire votre palais. Et pour ceux qui voudraient profiter de la vie nocturne, vous pourrez vous asseoir dans un des parcs de la zone coloniale, où vous pourrez apprécier la douce brise de la mer. Parfait pour les amoureux qui passent quelques jours en club à Saint-Domingue !

Un endroit d’une richesse culturelle incroyable

Témoin des premiers faits marquants de l’histoire coloniale des Amériques, cette zone recèle tous les témoignages de ce passé historique. Vous y trouverez, en effet, les plus anciens monuments de la période coloniale de la domination espagnole. Ses magnifiques petites places ombragées plaisent aux touristes et aux promeneurs. De merveilleuses maisons coloniales et des monuments en ruines bordent certaines routes. Il faut noter que certains d’entre eux ont dû être rénovés pour les maintenir en état. En tout cas, le passé est bien omniprésent.
De nombreux sites historiques sont à découvrir. Entre autres, la Catedral Primada de America, la première cathédrale bâtie dans le Nouveau Monde en 1514 sous la direction du fils de Christophe Colomb. Ne manquez pas non plus l’Alcazar de Colon qui fut le siège de la vice-royauté espagnole dans le Nouveau Monde. Demeure de don Diego Colon, ce palais est aujourd’hui un véritable musée de la période coloniale. Visitez aussi la Puerta del Conde construite pour défendre la ville de Saint-Domingue et empêcher les armées et les attaques des pirates et des corsaires. Il faut noter qu’aujourd’hui, La Puerta del Conde sert d’entrée principale du Parc National de Saint Domingue. Pensez à consacrer quelques jours pour visiter ce joli site ! Sachez que vous pourrez aussi faire de la plongée à Saint Domingue ou vous y rendre en famille pour quelques jours de détente.

lundi 29 avril 2013



L'art et l'architecture



 
Durant la période coloniale, les Espagnols conservent le monopole de l’expression picturale et architecturale ; la vie artistique locale n’existe pour ainsi dire pas. C’est avec l’indépendance que les talents nationaux commencent à s’exprimer. Cependant, peu d’ouvrages mentionnent l’apport des artistes de l’île aux arts latino-américains des 19e s. et 20e s., une méconnaissance qui agace les Dominicains. Peut-être est-ce la peinture naïve du voisin haïtien, connue dans le monde entier, qui lui fait de l’ombre ? Et pourtant, la peinture dominicaine (la sculpture a connu un développement moindre) possède une énergie, un sens de la lumière et une variété de thèmes tout à fait singuliers. Les peintures murales font également partie du paysage artistique dominicain ; à Saint-Domingue, plus d’une centaine de fresques ont ainsi été classées au patrimoine national.


L’esthétique taïno

Le premier art « hispaniolien », celui des Taïnos, nous a légué d’importants éléments. De nombreuses grottes, utilisées pour les rituels religieux et funéraires, s’ornent de dessins et de pétroglyphes ; on y a trouvé des poteries, des céramiques polychromes et des statuettes représentant les dieux de la cosmogonie taïno. À Saint-Domingue, le Museo del Hombre dominicano consacre plusieurs salles à ces découvertes et la Fundación García Arévalo rassemble l’une des plus belles collections de ces œuvres primitives.

Les premières écoles et l’exposition de 1890

L’art dominicain à proprement parler naît après la déclaration d’indépendance de 1844. Les premiers peintres dominicains s’inspirent de leurs homologues européens et se cantonnent aux thèmes académiques. Peu à peu cependant, des œuvres origi­nales, aux sujets purement locaux, voient le jour.
Un pas décisif est franchi avec l’arrivée en 1883 du peintre espagnol Fernández ­Corredor, fondateur de la première école de peinture du pays ; la capitale accueille en 1890 la première grande exposition nationale. Parmi les artistes les plus en vue à l’époque figurent Luis Desangles (1861-1940), Leopoldo Miguel Navarro (1862-1908) et Abelardo Rodríguez Urdaneta (1870-1933), père de la sculpture dominicaine et photographe.
Comme ailleurs en Amérique latine, la modernité artistique commence dans les années 1930-1940. Trois artistes déterminants émergent alors : Celeste Woss y Gil, Jaime Colson et Yoryi Morel.

Celeste Woss y Gil, renouveau et expérimentation

Celeste Woss y Gil (1891-1985) est la fille d’Alejandro Woss y Gil, président de la République à deux reprises (1885 à 1887 puis en 1903). Cet homme brillant et érudit se charge d’abord lui-même de l’éducation de sa fille puis, en 1922, l’envoie étudier à New York, à la Art Students League.
Celeste Woss y Gill étudie l’anatomie et s’initie aux nouvelles formes d’expression artistique. De retour à Saint-Domingue, elle ouvre une école d’art, la Escuela Studio. C’est là, en 1924, que se tient la première exposition d’arts plastiques dominicains consacrée à une femme.
Celeste devient l’une des initiatrices du renouveau et de l’expérimentation dans l’art dominicain. Ses toiles, dont les sujets font scandale, attirent l’attention des critiques : l’artiste prend pour modèles des Dominicaines noires et métisses qu’elle peint nues − une innovation audacieuse en ces temps où les Dominicains, consciemment ou non, ont tendance à occulter leur métissage. En 1931, la peintre ouvre une nouvelle école, l’Academia de Pintura y Dibujo.

Jaime Colson l’universel 


Jaime Colson (1901-1975) naît à Puerto Plata. Il se rend en Espagne pour étudier les arts à l’Académie San Fernando de Madrid, puis le dessin à Barcelone avec les maîtres catalans du début du siècle. Dans les années 1920, il monte à Paris, fréquente Montparnasse et se lie avec Picasso, Braque et Fernand Léger. Il s’essaie au cubisme, touche à l’architecture ; c’est un boulimique. De 1934 à 1938, il vit au Mexique, aborde la fresque monumentale qui développe des thèmes sociaux et se lie avec des artistes de premier plan : Siqueiros et Diego Rivera.
La fin de la décennie le trouve à Cuba où il enseigne aux futurs grands peintres nationaux, parmi lesquels Mario Carreño. Il rentre à Saint-Domingue en 1950 et Trujillo le nomme directeur général des Beaux-Arts, un poste qu’il n’occupera qu’une année, ayant toujours été rétif à l’administration et désapprouvant la dictature.
Colson est un voyageur. Toute sa vie, il parcourt la planète et les courants artistiques : Europe, Amérique, Caraïbe ; cubisme, ­surréalisme, néoclassicisme. On a dit de lui qu’il avait une formation européenne et une sensibilité américaine : c’est presque un brevet d’universalité.

Yoryi Morel, peintre de la liberté

Yoryi Morel (1906-1979), autodidacte, se fait connaître lors de sa première exposition, en 1932, comme le peintre de la vie ­quotidienne des Dominicains. Il fonde l’École des Beaux-Arts de Santiago de los Caballeros et consacre une partie de son temps à enseigner dans cette ville et à Saint-Domingue. Il expose en Europe et en Amérique. Il étonne. Contrairement à Jaime Colson, sa peinture n’est pas une exploration formelle mais une méditation constante sur la vie des hommes et sur la lumière.
Morel, peintre de la liberté doté d’une technique sans faille, compose des paysages, des nus, des portraits et des scènes de genre présentant des figures typiques, femme à la rivière ou enfant des rues. C’est le peintre par excellence de la région du Cibao.

Artistes d’aujourd’hui

La République dominicaine a donné naissance à quantité d’artistes : Vicente ­Pimentel, qui vit à Paris, José García Cordero, dont les ­toiles s’évaluent en dizaines de milliers de ­dollars, Domingo Liz, un des sculpteurs dominicains les plus en vue, Alonso ­Cuevas, dont les recherches picturales tentent de percer le secret de la matière des choses, ou encore F­ermín Ceballos, dont ­l’œuvre s’inspire de l’art rupestre des Taïnos.

Oviedo, peintre humaniste

Ramón Oviedo, né en 1927 à Barahona, est le plus célèbre représentant de la génération de 1960. Enfant d’une famille pauvre, obligé de travailler dès l’âge de 9 ans, Oviedo prend peu à peu conscience de sa vocation artistique. Ce cartographe de formation poursuit sa carrière dans la publicité et expose pour la première fois en 1964. L’année suivante, les moments tragiques de l’insurrection populaire face à l’invasion américaine lui inspirent une œuvre phare, 24 de Abril. Un style expressionniste – dessin épuré, palette ténébreuse – et une dimension sociale dénonçant la dureté du quotidien pour le peuple caractérisent cette première période de son art.
Les décennies suivantes voient se succéder de nouvelles explorations thématiques : quête philosophique dans les années 1970, thèmes liés à la culture ancestrale des Taïnos dans les années 1980. Palette et matériaux se diversifient, le langage pictural acquiert une énergie nouvelle ; maturité créatrice et reconnaissance internationale font d’Oviedo l’artiste dominicain contemporain le plus important.

L’Architecture
 


L’héritage taïno a traversé l’époque coloniale et se perpétue aujourd’hui dans les campagnes au travers du bohío, cette hutte rudimentaire aux murs et au toit faits de végétaux (avec des feuilles de palmier notamment).
À partir de 1492, les colons espagnols introduisent dans l’île des formes et des techniques nou­velles. Édifiée dès la fin du 15e s. selon un plan en damier, la zone coloniale de Saint-Domingue a reçu en 1990 l’hommage de l’Unesco, qui l’a inscrite au patrimoine mondial. Parmi les édifices phares de la capitale, on remarquera la forteresse Ozama, la plus ancienne construction militaire coloniale des Amériques (1502-1507), ainsi que la cathédrale Santa María la Menor (1516-1540), la première du Nouveau Monde, érigée dans un style gothique tardif. Les demeures des premiers colons présentent quant à elles les mêmes caractéris­tiques stylistiques que celles bâties en Espagne à la même époque avec leur patio intérieur, leurs portes et fenêtres aux encadrements ouvragés et aux grilles de fer forgé, leurs balcons, leur portail massif et leurs toits de tuiles.
Jusqu’au 19e s., le style de construction varie peu. Les Français introduisent toutefois un style néoclassique adapté au climat des tropiques ; les bâtisses s’ouvrent désormais sur la rue et se dotent de balcons en fer forgé et de grandes fenêtres. Durant la première moitié du siècle, de grands travaux sont entrepris pour convertir le style des façades. La ville de Puerto Plata, sur la côte Nord, conserve de beaux ensembles de ce style victorien.

Les réalisations actuelles

Depuis les années 1970, deux projets monumentaux ont marqué l’urbanisme de la capitale. Véritable manifeste culturel, le vaste complexe de la Plaza de la Cultura rassemble dans un écrin de verdure quatre grands musées, le Théâtre national et la Bibliothèque nationale.
Le Faro a Colón, achevé en 1992, pour le 500e anniversaire de la découverte de l’Amérique, abrite le mausolée de Christophe Colomb, un musée et un centre culturel. Cet édifice pharaonique n’en demeure pas moins une bizarrerie que des architectes contemporains de talent, comme Gustavo Luis Moré (Parque Metropolitano de Santiago), Mauricia Domínguez ou Aristides Ramírez Minaya (Centro de los Héroes à Saint-Domingue), peinent à faire oublier, si l’on en juge par le faible niveau des commandes publiques qui leur sont confiées…
À Higüey, sur la côte Est de l’île, la Basílica de la Altagracia, construite selon les normes anticycloniques, affiche une audacieuse façade de béton.
 
 

L'Histoire de Santo-Domingo
 
 

Quand Christophe Colomb découvre l’île le 5 décembre 1492, c'est le conquistador qui est conquis ! Les paysages sont somptueux, la terre est riche en fruits aussi inconnus que délicieux (goyave, ananas, banane). Les habitants sont accueillants, et ils sont surtout parés de bijoux en or...

 
 
 
 
Les indiens Taïnos
Ils étaient près d’un million à l’arrivée des espagnols. Les Taïnos sont l’une des plus brillantes civilisations des Antilles : pêcheurs et agriculteurs émérites, ce sont également de grands artistes et surtout, un peuple pacifique.
Malheureusement, Christophe Colomb et ses successeurs voient surtout en eux une main d’œuvre facile à asservir. En moins d’un siècle, les travaux forcés, les massacres et les épidémies apportées d’Europe les font disparaître de l’île.
 
 



La colonisation espagnole
Quisqueya, la taïna devient "La Hispaniola", la première colonie européenne du Nouveau Monde. Fondée sur la côte sud de l’île, la ville de Santo Domingo (qui donnera plus tard son nom à l’île) est alors le siège de la vice-royauté des Amériques espagnoles.
Pour exploiter les ressources du pays, ses nouveaux maîtres déportent massivement les esclaves africains, plus « résistants » que la population locale. A partir de 1505, plusieurs centaines de milliers d’entre eux traverseront l’Atlantique pour rejoindre les plantations de canne à sucre et les mines d’or dominicaines.
 

La colonisation française
A partir du XVIIème siècle, les espagnols se désengagent progressivement de l’île, attirés par les richesses du Pérou et du Mexique. Ils laissent alors le champ libre aux pirates et boucaniers français qui prennent possession de la partie occidentale du pays et fondent la colonie de Saint-Domingue, la future Haïti.
 
 


La longue marche vers l’indépendance
En 1791, la révolte des esclaves d’Haïti, menée par Toussaint l’Ouverture, fait rapidement tâche d’huile dans la partie orientale. Les espagnols, débordés, cèdent l’ensemble de l’île aux français. Alors qu’Haïti obtient son indépendance en 1804, Saint-Domingue commence une longue période d’instabilité.
Le pays passe des mains des français aux espagnols puis des espagnols aux haïtiens pour devenir indépendant en 1844. Après un bref retour à la couronne espagnole, la République Dominicaine obtient définitivement son indépendance en 1865.
 


Et la démocratie ?
Au XXè siècle, l’histoire de Saint-Domingue est marquée par l’ingérence des Etats-Unis, qui prennent le contrôle économique du pays (comme à Cuba), et la dictature sanglante du général Trujillo de 1930 à 1961. Devenu l’un des hommes les plus riches du monde, il est assassiné lors d’un coup d’état militaire.
Depuis une quinzaine d’années, la République Dominicaine connaît une réelle alternance démocratique entre les deux partis principaux: le PRD (parti révolutionaire dominicain) et le PLD (parti de libération dominicain). Le président actuel est Leonel Fernandez, du PLD.

vendredi 26 avril 2013

SOMMAIRE

1. L'Histoire

2. L'art et l'architecture chitecture => Paysage

3. La zone coloniale => sites touristiques

4. Boca-Chica/Punta des Salinas => Paysage

5. Le Ghetto => Paysage & mode de vie

6. La Morena => Population

7. Young Moreno => Population

8. La musique => Culture & Ambiance

9. Les Bars à Batchata => Music (Party & fun)
    Les bars à bordels => Ambiance (fun)

10. Le carnaval => Culture (Party & fun)
      Le week-end de Pâques => Culture (Party&fun)

11. El Malecon => Sites & évenements (fun)
Meeting sur les parkings => Moov (fun)

12. Les 4*4 & les motos => Lokal

13. Les spécialités locales => Cuisine

14. L'alcool => Tradition

15. Les cigares => Tradition

16. Le baseball => Sport
      Le combat de coq => Culture & Sport

17. Les tatouages => Arts & Savoir

18. La chirurgie ésthétique => Pratique

19. Les bons plans a Santo Dominguo





jeudi 18 avril 2013


Les playas sainto dominguaise...

 
Boca Chica : République Dominicaine
 

Boca Chica vue du ciel

Boca Chica est une municipalité de la province Saint-Domingue en République dominicaine. Dans la municipalité il y a un district municipal : La Caleta.
La municipalité compte plus de 100 000 habitants, dont la moitié vit dans la ville et l'autre moitié en périphérie dans ses districts ruraux .
A Boca Chica se situe a une plage populaire du même nom ( plage de Boca Chica) , situé à environ 30 kilomètres à l'est de Santo Domingo de Guzmán dans la rive sud de l'île d'
Hispaniola.
Histoire de Boca Chica

Boca Chica a été initialement développé par Juan Bautista Vicini Burgos, qui y a établi des plantations de sucre dans le début du 20e siècle. Vicini a été très friands de l'endroit, mais l'âge d'or de Boca Chica vint dans les années 1950, quand le dictateur Rafael Leónidas Trujillo ordonna la construction d'un hôtel moderne nommée "Hôtel Hamaca", qui est ensuite devenu une sorte d'icône.
 

L'hôtel a obtenu reçu divers célébrités, car c'est là que Trujillo accorda l'asile à Fulgencio Batista après la Révolution cubaine.
La Hamaca a été fermé presque immédiatement après Trujillo a été tué en mai 1961, et il est resté fermé et abandonné pendant plus de vingt ans. Il a été rouvert dans le début des années 1990.
Durant les années 1950 et 1960, les familles aisées de la République dominicaine construisirent des résidences secondaires le long de la plage .
Après les années 1970, la plage devient de plus en plus populaires et les transports en commun ont contribué à faire de Boca Chica une plage très peuplées, il n'était plus isolé et calme, comme il l'avait été auparavant .
Tourisme
La baie de Boca Chica est une zone balnéaire très populaires pour les touristes car le récif de la baie, la baie et le bouclier d'eau est très calme.
 

Le récif a la forme d'un croissant, qui dépasse de la surface de l'eau. Pour le récif de l'eau est à peine inférieure à 1,50 mètres. Entre la plage et le récif il y a deux petites îles, Isla de Pinos et Isla Matica. Derrière ces 2 îles se trouve est le port qui a été aménagement suite à la recrudescence des touriste à Boca Chica.
 



La playa de Punta Salinas


Description:

Une bande de terre qui divise la baie de chaudière (est) et Ocoa Bay (ouest) la création d'une plage à chaque extrémité. L'endroit a une atmosphère mystique et serein, entouré de dunes, La Loma del Curro et Salinas de Puerto Hermoso, une belle mine de sel.

 

Ses vents violents, font West Beach dans un endroit commode pour la planche à voile, tandis que la plage est idéal pour une promenade en bateau offerte par les pêcheurs locaux.